En attendant que notre président d’honneur, toujours très en verve, nous régale du compte-rendu du weekend de Pâques (trois jours dévolus au kyûdô),
je me réjouis, d’avoir vu combien notre pratique a été exposée dans les différents organes de presse et la télévision de la région. Merci à eux pour cet éclairage.
Cependant je dois déplorer de petites coquilles dans le traitement de l’information. L’un des quotidiens a prénommé, Laurence Oriou, notre présidente de fédération, de deux façons différentes dans le même article.
Plus léger: à la télévision, la voix off rapportant notre activité dans le reportage diffusé, parle de « kyodô », je ne sais même pas comment écrire ce mot et n’ose imaginer quels sens pourrait y voir un japonais.
En revanche la journaliste qui a lancé le reportage a annoncé le « kuidô », là mon esprit affamé a été frappé par les deux idéogrammes qui pourraient représenter ce néologisme:
食道 – La Voie de la Bouffe
Sans savoir que cet art existait, j’en étais déjà un adepte de premier plan! J’adore.
Le kyûdô est une école de rigueur. Chers rapporteurs de l’Information, vous aussi, s’il vous plaît, appropriez-vous cette rigueur. Merci.